Quoi de neuf sur la Planète Crypto : Nessie, un serpent, des « squelettes de Panda », des souris et 100 espèces marines

Ces derniers temps les découvertes anialières se succèdent. Voyez plutôt…

Des scientifiques découvrent une nouvelle espèce d’anaconda en Amérique du Sud

Photo prétexte.Une nouvelle espèce d’anaconda vert a été découverte dans le nord de l’Amérique du Sud. Les scientifiques ont fait part de leur enthousiasme, précisant qu’il s’agissait d’un serpent géant.

Une équipe de quatoze biologistes et scientifiques a réalis éune découverte de taille dans le nord de l’Amérique du Sud, puisqu’ils ont trouvé une nouvelle espèce d’anaconda vert, comme ils le détaillent dans la revue « Diversity ».

Le biologiste néerlandais Freek Vonk s’est enthousiasmé sur son compte Instagram : « Nous avons découvert une nouvelle espèce de serpent, et pas n’importe laquelle : un serpent géant ! Il existe en réalité deux espèces d’anaconda vert ave cune différence dans l’ADN de 5,5 %. A titre de comparaison, la différence génétique entre l’homme et le chimpanzé n’est que de 2 %. »

(Pour lire l’article en entier : Le Soir)

Ces « squelettes de panda » découverts au japon sortent tout droit d’un dessin animé

Cette nouvelle espèce d’ascidie, d’étranges animaux marins, ressemble comme deux gouttes d’eaux à un mini-panda.

 Il s’agit d’une toute nouvelle espèce marine d’ascidies, des invertébrés marins, nommée Clavelina ossipandae ou… « squelette de panda ».

Comme son nom l’indique, cet animal marin du Japon rappelle un panda en miniature, en raison de son corps blanchâtre et des deux taches noires sur sa tête.

Découverte de nouvelles espèces indigènes de souris en Australie

L’Australie peut revendiquer deux nouveaux espèces de rongeurs indigènes grâce à une étude de The Université nationale australienne (ANU).

On pensait auparavant que la souris délicate, bien nommée, était une espèce unique couvrant une vaste étendue du pays, depuis le Pilbara en Australie occidentale, à travers certaines parties du Territoire du Nord et à travers le Queensland jusqu’à la frontière de la Nouvelle-Galles du Sud.

L’auteur principal, le Dr Emily Roycroft, de l’ANU, a déclaré que nous savons désormais qu’il existe en réalité trois espèces distinctes.

« Grâce à la nouvelle technologie génétique, nous avons confirmé que cette délicate souris appartient à trois espèces et non à une seule.

Le Dr Roycroft a déclaré que la souris délicate diffère des souris que vous pourriez rencontrer dans votre maison ou votre jardin de plusieurs manières importantes.

« Les souris domestiques, les rats noirs et les rats bruns sont des espèces envahissantes introduites en Australie depuis la colonisation européenne. Ils sont très différents des rongeurs indigènes, à la fois évolutifs et écologiques. Ils rivalisent avec nos espèces indigènes pour les ressources », a-t-elle déclaré. « Les souris délicates font partie d’un groupe de rongeurs indigènes qui évoluent en Australie depuis cinq millions d’années. Ils constituent un élément crucial de l’environnement naturel et des écosystèmes australiens. Les souris délicates sont notre plus petit rongeur australien : elles peuvent peser aussi peu que six grammes, elles sont donc vraiment petites.

(Pour lire l’article du Dr. Roycroft : Australian National University)

100 possibles nouvelles espèces marines découvertes lors d’une expédition

Une possible nouvelle espèce de poissons du genre chaunacops.

Une possible nouvelle espèce de poissons du genre Chaunacops, découverte par l’Institut océanique Schmidt en février 2024 au large du Chili. PHOTO : INSTITUT OCÉANIQUE SCHMIDT

Lors d’une récente expédition de l’Institut océanique Schmidt (SOI) au large du Chili, des scientifiques ont documenté plus de 100 espèces marines qu’ils pensent nouvelles pour la science. Parmi celles-ci : des coraux, des calmars, des éponges, des oursins, des amphipodes, des poissons, des crustacés et bien plus encore.

À l’aide d’un robot sous-marin capable de descendre à 4500 m sous la surface de l’océan, l’équipe du SOI a pu observer, de près, des monts sous-marins jusqu’alors inexplorés.

Pour confirmer qu’il s’agit bien de nouvelles découvertes, les scientifiques ont prélevé des échantillons de chaque espèce. Cependant, ce processus d’analyse pourrait prendre plusieurs années.

En 2022, des scientifiques ont identifié 39 potentielles nouvelles espèces d’eau profonde dans l’océan Pacifique, entre Hawaï et le Mexique. Plus tôt cette année, le SOI a découvert quatre nouvelles espèces de pieuvres des grands fonds près du Costa Rica, ainsi que des pépinières florissantes.

(Pour retrouver l’article en entier : Radio Canada  )

Ces images prises en 2018 “du monstre du Loch Ness” laissent les experts perplexes et renforcent le mythe de la créature du lac

Photo Chie Kelly

Photo Chie Kelly

  • Le Loch Ness, célèbre pour ses légendes autour de Nessie, a été le théâtre de nombreux témoignages et photographies depuis la première photo en 1934 par Robert Wilson.
  •  La révélation 60 ans plus tard que la photo emblématique de Nessie était un canular n’a pas éteint l’intérêt pour le monstre, avec de nouvelles photos intrigantes publiées en 2023.
  •  Des clichés récents pris par Kelly en 2018 et publiés en 2023 relancent le débat sur l’existence de Nessie, méritant selon certains une enquête plus approfondie.(Pour lire l’article en entier : Science et Vie)
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Cet été marche dans les pas de la Bête du Gévaudan

De 1764 à 1767, une (ou plusieurs) Bête s’en prend aux ​populations de Lozère et du sud de l’Auvergne, faisant 140 morts ​sur 285 attaques recensées.

Ce n’est pas la seule Bête tueuse qui a sévi en France entre le ​15e et le 19e siècle, mais c’est la seule qui a fait couler autant ​d’encre.

Qu’était-ce cet animal? Chien, loup, hybride? Y avait-il un ​prédateur unique ou plusieurs? Y avait-il une intervention ​humaine dans ces agressions? Aujourd’hui le mystère reste ​entier malgré les diverses hypothèses qui furent émises sur sa ​nature zoologique.

L’affaire de la Bête du Gévaudan offre une porte d’entrée dans un ​monde attachant autant qu’effrayant : celui du peuple rural de ​ces montagnes, un quart de siècle avant la révolution française. ​Elle présente une galerie de personnages attachants, courageux, ​tragiques, dont les noms résonnent encore et les familles sont ​toujours présentes, et fait découvrir un pays riche de beautés ​naturelles et humaines.

Nous te proposons cet été d’aller visiter en notre compagnie ​les endroits où la Bête a sévi et où elle est morte.

Pour t’inscrire : Oui, je veux y aller !

 

Si tu ne connais pas le sujet, pour en savoir plus sur la Bête, regarde nos dernières conférences sur notre chaîne YouTube :
Dans les Pas de la Bête du Gévaudan

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Dans les pas de la Bête du Gévaudan (Episode 3) : c’est ce soir !

Bonjour,

Pour vous rappeler que ce soir  à 20h00 précises nous avons un webinaire GRATUIT.
Dans cette e-conférence nous arriverons aux événements qui émaillèrent l’année 1767, la dernière année où la bête a sévi, et nous verrons, avec le spécialiste Alain Bonet, ce qu’il en est aujourd’hui concernant les recherches et l’impact que cette histoire a encore dans la région et ses habitants.

Pour vous inscrire (faites-le aussi si vous voulez l’enregistrement) : 

Si vous voulez voir les 2 conférences précédentes :
1) https://event.webinarjam.com/go/replay/366/znq92h3wigqc24av
A ce soir sans faute !
PS : Diffusez cet événement largement autour de vous !
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Crypto-culture : Cryptozoologie de Mireille Thibault

Cryptozoologie : Pour les 8 à 12 ans - Les animaux inconnusVoici le dernier ouvrage publié par Mireille Thibault.

Cet ouvrage est cette fois destiné aux enfants, comme il est indiqué.
Je me le suis procuré au prix de vente de 12 €.
D’amblée, j’avoue qu’il est une grosse déception et pour le nombre de pages, 31 seulement, et pour le contenu.
D’abord pour la mise en page : chaque illustration de cryptide est mise en vis-à-vis du…cryptide suivant ! Ce qui, selon, constitue un gros défaut de mise en page.
Celles-ci sont de styles très disparates et pas toujours exactes quand elles représentent un animal connu mais disparu.
Ensuite le texte de présentation de chaque cryptide ne dépasse pas en moyenne 13 lignes, parfois 20 lignes, bien espacées et en grande police de caractère.

Parlons maintenant des cryptides traités dans l’ouvrage

Pas de Yéti, ni de Bigfoot, ni de Grand-Serpent-de-Mer, mais le Kappa, Nessie (quand même ! mais présenté comme un plésiosaure, idée depuis longtemps abandonnée), le Thylacine (inexactement représenté !), le Mokélé-Mbêmbé (que l’auteure présente comme ressemblant à un brontosaure, hypothèse également abandonnée aujourd’hui). Ensuite elle présente Champ, les Thunderbirds, les Griffons (qui n’ont pas leur place en Cryptozoologie !), Memphré, le Tatzelwurm, le Raou et enfin le Bunyip.
Pour chacun des cryptides qu’elle décrit aucune hypothèse scientifique sérieuse n’est suggérée par l’auteure qui reste dans les descriptions « mythiques ».

Conclusion

Ouvrage très décevant, destiné plus à des enfants de 5 ans qu’à des lecteurs de 8 à 12 ans.
Madame Thibaut aurait été mieux inspirée de publier un vrai ouvrage de cryptozoologie destiné à la jeunesse, regroupant les « vedettes de la Cryptozoologie » et « les seconds rôles », comme les qualifie Michel Raynal, avec des informations un peu plus élaborées. : un livre de 50 à 120 pages aurait été une bonne idée et davantage destiné à la tranche d’âge des 8-12 ans. Pour l’anecdote à 10 ans, j’avais déjà lu l’ouvrage d’Yvan T. Sanderson (Hommes-des-neiges et Hommes-des-bois – Plon, 1963) et celui de Bernard Heuvelmans (Le Grand-Serpent-de-Mer, Plon, 1965).

Le prix de vente de 15 € est très surfait pour cet ouvrage qui rate largement sa cible.

 

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Dans les pas de la Bête du Gévaudan (Episode 3) : c’est ce soir !

Bonjour,

Pour vous rappeler que ce soir  à 20h00 précises nous avons un webinaire GRATUIT.
Dans cette e-conférence nous arriverons aux événements qui émaillèrent l’année 1767, la dernière année où la bête a sévi, et nous verrons, avec le spécialiste Alain Bonet, ce qu’il en est aujourd’hui concernant les recherches et l’impact que cette histoire a encore dans la région et ses habitants.

Pour vous inscrire (faites-le aussi si vous voulez l’enregistrement) : 

Si vous voulez voir les 2 conférences précédentes :
1) https://event.webinarjam.com/go/replay/366/znq92h3wigqc24av
A ce soir sans faute !
PS : Diffusez cet événement largement autour de vous !
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Dans les pas de la Bête du Gévaudan (2e épisode)

Dans un premier épisode nous avons résumé les grandes lignes du début de l’affaire (1764-1765) et pourquoi ce fait divers a eu tant d’importance à l’époque et jusqu’à aujourd’hui, puis nous avons vu certains lieux qui furent liés à certains événements et que l’on peut encore visiter aujourd’hui.

Ce mercredi 28 février à 20h00 précises  – note la date et l’heure – lors de cette conférence en ligne (webinaire) GRATUITE nous continuerons à suivre les pas sanglants de la Bête du Gévaudan.

Sois au rendez-vous mercredi à 20h précises !

Pour t’inscrire : Dans les Pas de la Bête du Gévaudan (2e épisode)

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Comment les Belges ont manqué la découverte de l’Okapi au 19e siècle

Le 12 mars prochain, Michel Raynal va donner la conférence qu’il a présentée aux dernières Rencontres Européennes de Cryptozoologie en Novembre « Comment les Belges ont manqué la découverte de l’Okapi au 19e siècle ».

Elle aura lieu au Musée Royal de l’Afrique Centrale à Tervuren, près de Bruxelles.

Voici tous les détails sur sa prochaine conférence sur la découverte de l’okapi  :

https://www.memoiresducongo.be/event/journee-de-memoires-du-congo-4/

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Dans les Pas de la Bête du Gévaudan

De 1764 à 1767, un animal attaque 285 personne et en dévore 140 dans l’actuelle Lozère. Ses méfaits, médiatisés par la Presse de l’époque, inquiètent notables et administrateurs du Royaume de France et poussent le roi Louis XV à prendre des mesures.

​​​​​​​Aujourd’hui l’identité de cet animal, que l’on a surnommé La Bête du Gévaudan, reste toujours mystérieuse.

Lors de cette conférence en ligne (webinaire) GRATUITE nous allons retracer, avec le spécialiste Alain Bonet, l’Histoire de la Bête du Gévaudan.

Sois au Rendez-vous dimanche 25-02-2024

à 20h00 précises !

Pour t’inscrire : ICI !

Cryptozoologiquement,

Eric JOYE
Organisateur

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Quoi de neuf sur la Planète Crypto : Une moisson de nouvelles espèces

Lézard des jardins de Wang – Des scientifiques découvrent de nouvelles espèces d’iguanes uniques

A new lizard species found in China, Calotes wangi, was officially described in research published Wednesday. Photo courtesy of Huang et.al Creative Commons LicenseUn nouvel iguane rejoint la riche faune de reptiles d’Asie, officiellement décrite comme nouvelle pour la science dans la revue en libre accès Zookeys

“De 2009 à 2022, nous avons mené une série d’enquêtes sur le terrain dans le sud de la Chine et collecté un certain nombre de spécimens de l’espèce. Calotes versicolor complexe d’espèces, et avons découvert que la population de ce que nous pensions être Calotes versicolor dans le sud de la Chine et le nord du Vietnam, il y avait une nouvelle espèce non décrite et deux sous-espèces”, explique Yong Huang, dont l’équipe a décrit la nouvelle espèce.

Le lézard des jardins de Wang (Calotes Wangi) mesure moins de 9 cm de long et l’une de ses caractéristiques distinctives est sa langue orange.

Une nouvelle espèce découverte en Méditerranée au large de Banyuls-sur-mer : ce que l’on sait de ce crustacé unique au monde

Voici en exclusivité Leviapseudes Tethys, qui vit à 600 mètres de profondeur dans le canyon Lacaze-Duthiers, situé dans le parc marin. Une nouvelle espèce de crustacés découverte par Céline Labrune, scientifique de l'observatoire océanologique de Banyuls-sur-mer.

Voici en exclusivité Leviapseudes Tethys, qui vit à 600 mètres de profondeur dans le canyon Lacaze-Duthiers, situé dans le parc marin. Une nouvelle espèce de crustacés découverte par Céline Labrune, scientifique de l’observatoire océanologique de Banyuls-sur-mer.

Il ne mesure que 8,39 millimètres, possède une douzaine de pattes poilues, deux pinces, des antennes, des yeux et une carapace articulée : le Leviapseudes tethys était jusqu’ici un illustre inconnu. C’est en analysant des échantillons réalisés lors d’une campagne de recherche dans le canyon catalan que la scientifique Céline Labrune, experte à l’Observatoire océanologique de Banyuls-sur-mer dans les Pyrénées-Orientales, a découvert quelques-uns de ces individus, qu’elle a baptisés ainsi.

(Pour en savoir plus : l’Indépendant)

Découverte d’une nouvelle espèce d’araignée de mer avec des pinces en forme de gant de boxe

araignee-de-merDes chercheurs ont identifié une nouvelle espèce d’araignée de mer qui vit au fond de l’océan Pacifique Sud. À près de 570 mètres sous l’eau, cette araignée de mer est équipée de pinces en forme de gant de boxe qui servent à attraper sa nourriture.
Aussi appelée crabe-araignée, l’araignée de mer est un invertébré marin de type crabe. Elle se distingue du crabe par ses pinces plus petites et fines.

Baptisée Austropallene halanychi, cette nouvelle espèce d’araignée de mer a été récupérée au fond de la mer de Ross dans l’océan Pacifique Sud, en Antarctique. Elle a été pêchée à un peu plus de 569 mètres de profondeur en 2013 par le Nathaniel B. Palmer, un navire brise-glace de recherche américain. Ce spécimen a été immédiatement conservé jusqu’à être récemment étudié par Andrew Mahon et sa collègue Jessica Zehnpfennig. Ils sont tous les deux biologistes à la Central Michigan University. 

(Pour en savoir plus : Science & Vie)

Arizona: un huitième jaguar observé en 30 ans

Arizona: un huitième jaguar observé en 30 ans

Arizona: un huitième jaguar observé en 30 ans

Un jaguar a été observé par un piège optique dans le sud de l’Arizona, devenant le huitième félin de ce type à y avoir été aperçu depuis les trois dernières décennies.

Les biologistes sont en mesure d’affirmer que ce jaguar n’avait encore jamais été observé grâce aux motifs de sa robe, qui est unique à chaque animal, a rapporté le Center for Biological Diversity par voie de communiqué.

(Pour lire tout l’article : Le journal de québec)

Une grenouille « à crocs » incroyablement petite

Une grenouille de l'espèce Limnonectes phyllofolia.

Une grenouille de l’espèce Limnonectes phyllofolia.

Particulièrement petite pour une espèce de grenouille « à crocs », Limnonectes phyllofolia a aussi surpris les chercheurs par la gestion de ses œufs.

Limnonectes phyllofolia n’est vraiment pas une grenouille comme les autres. Dotée de « crocs » osseux, elle est minuscule et chez cette espèce, c’est le mâle qui garde les œufs. Nouvelle pour la science, elle a été décrite le 20 décembre 2023 dans la revue Plos One.

Les pinsons de Darwin qui vivent sur les îles Galápagos continuent d’évoluer à la vitesse grand V

Un géospize à bec moyen

Un géospize à bec moyen (Photo: Marc-Olivier Beausoleil)

Une équipe internationale de biologistes dirigée par des chercheurs de l’Université McGill qui les a étudiés pendant 17 ans affirme que deux nouvelles espèces seraient en voie de se former.
La population de géospizes à bec moyen (Geospiza fortis) leur est quant à elle apparue divisée en deux sous-populations : l’une se caractérisant par un plus petit bec et l’autre par un plus gros bec. Et chacune de ces deux sous-populations s’approche fortement d’un pic adaptatif, comme en témoigne leur longue durée de vie apparente.

Quatre nouvelles espèces de poulpes découvertes au Costa Rica

Quatre nouvelles espèces de poulpes d’eau profonde ont été découvertes en décembre dernier. Une d’entre elles a été retrouvée dans une source hydrothermale et les autres en dehors, dans les eaux profondes marines. Les images de ces dernières ont été diffusées par l’Institut Schmidt de l’océan.

Ces poulpes sont actuellement étudiés afin d’être enregistrés comme de nouvelles espèces par le Dr Janet Voight, conservateur associé de la zoologie des invertébrés au Field Museum of Natural History, et Fiorella Vasquez du musée zoologique de l’université du Costa Rica.

Une seule a toutefois reçu un nom temporaire “la pieuvre Dorado”. Celui-ci lui a été donné en référence au nom non officiel de l’affleurement (ensemble de roches) sur lequel elle a été trouvée. Cette nouvelle espèce a été observée en train de couver ses œufs dans les eaux chaudes dans l’une des sources thermales.

Les 160 spécimens recueillis par l’expédition de décembre seront envoyés au Musée de zoologie de l’Université du Costa Rica.

(Pour en savoir plus : Science & Vie)
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Quoi de neuf sur la Planète Crypto : une taupe, un rat et une grenouille

Occupés d’une part à mettre sur pied les Rencontres Européennes de Cryptozoologie (c’était début novembre) et à préparer d’autres projets futurs (festival Crypto, SasquatchSafari, un financement participatif) dont nous vous parlerons dans les prochaines semaines, cela fait un petit temps que nous n’avons pas publié de News sur les (re)découvertes. On va tenter de se rattraper – du moins en partie – ici.
Et pour commencer une redécouverte :

La taupe dorée, une espèce redécouverte 87 ans après grâce à son ADN et à un chien renifleur

Une taupe dorée perdue de vue depuis 87 ans redécouverte - rts.ch - EnvironnementConnue pour « nager » dans le sable, la mythique « taupe dorée » – surnom de la taupe De Winton – avait été vue pour la dernière fois, de mémoire de scientifiques, en 1936 et l’espèce était considérée disparue à jamais.

Une équipe de chercheurs d’une ONG locale et de l’université de Pretoria, lancés sur la piste du mammifère insectivore depuis 2021, ont annoncé mardi 28 novembre dans un communiqué avoir repéré deux spécimens de l’espèce sur les plages autour de la petite ville portuaire de Port Nolloth (nord-ouest). grâce à l’ADN environnemental – les traces génétiques que tout animal laisse derrière lui- et à un chien renifleur.
(Pour lire l’article entier : GEO )

Un rare rat géant découvert sur une île du Pacifique !

Un rat géant découvert en Indonésie - ImageDe la taille d’un bébé humain un rongeur d’une taille inhabituelle, pesant environ un kilo, il a été repéré sur les îles Salomon, au nord-est de l’Australie, par des scientifiques. Il s’agirait d’une espèce locale peu documentée, appelée le rat géant de Vangunu (Uromys vika), du nom de l’île de l’archipel où il a été vu. Un premier et unique spécimen long d’un demi-mètre avait déjà été découvert en 2017.

(Pour en savoir plus ; 20min.fr )

Cette espèce de grenouille, découverte par les scientifiques, émet un cri similaire à celui d’un canard

Des scientifiques ont repéré une nouvelle espèce de grenouille qui a un cri semblable au couac d’un canard. Nommée d’après la rivière Noa-Dihing dans laquelle elle a été trouvée, ce serait la première espèce du genre Nidirana.

Une drôle de découverte. Des chercheurs indiens, présents au parc national de Namdapha au nord-est de l’Inde et un scientifique de l’université de Wolverhampton (Angleterre), ont repéré une nouvelle espèce de grenouille nommée Nidirana noadihing.

( Retrouvez tout l’article : laminute.info )

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