Quoi de neuf sur la planète Crypto : un lynx, un Yowie, une tortue et quoi d’autre ?

Il est de retour dans la vallée de la Semois: les images exceptionnelles du lynx de Bouillon qui joue la star face caméra

Il est de retour dans la vallée de la Semois: les images exceptionnelles du lynx de Bouillon qui joue la star face caméraEn février 2020, un cliché avait permis de confirmer qu’un lynx était de passage dans la vallée de la Semois. Depuis, d’autres pièges photos ont été installés et des piquets de bois ont été plantés pour recueillir l’ADN du félin, en espérant qu’il vienne s’y frotter. Comme espéré, ces piquets sont venus confirmer le retour du lynx dans nos contrées.
En février 2020, une première photo de nuit, prise par une caméra-piège dans la vallée de la Semois, près de Bouillon, laissait penser qu’un lynx y était de passage. Mais l’image était de mauvaise qualité. Il a fallu attendre un autre cliché, pris par un piège-photo, au mois d’août pour confirmer que ce lynx en était bien un et qu’il s’était même installé dans la région !

(Info SudInfo.be)

Un traqueur de Yowie assure avoir filmé le Bigfoot australien

Une image tirée de la vidéo de Dean Harrison. A gauche, la créature qu'il dit avoir filmée avec sa caméra thermique comparée avec un humain pour souligner la différence de stature. Un traqueur de Yowie australien est convaincu d’avoir filmé deux spécimens de ce légendaire anthropoïde.

Tout le monde a entendu parler du yéti himalayen, peu de gens ignorent l’existence putative du Bigfoot américain, en revanche, leur homologue australien, le Yowie, reste l’un des membres encore trop méconnus de la grande famille des mystérieuses créatures anthropoïdes signalées un peu partout dans le monde sous des noms différents.

Mesurant selon les description entre 2 et 3,5 mètres de haut, il a laissé un peu partout en Australie des empreintes de pieds nus à la mesure de sa stature colossale. Depuis le 19e siècle, les témoignages se succèdent avec régularité. L’un des plus anciens a été publié en 1882 par le Australian Town and Country Journal par le naturaliste amateur Henry James McCooey qui dans un article intitulé «Australian Apes», (Grands singes d’Australie) décrit sa rencontre avec un anthropoïde en des termes très précis : «Il était sans queue et couvert de très longs cheveux noirs, qui étaient d’un rouge sale ou de la couleur du tabac à priser au niveau de la gorge et de la poitrine. Ses yeux, qui étaient petits et mobiles, était en partie cachés par les cheveux emmêlés qui couvraient sa tête. La longueur des pattes antérieures ou des bras semblait être remarquablement disproportionnée avec le reste de son corps, mais à tous autres égards sa corpulence semblait assez proportionnelle. Dans l’ensemble, c’était une créature d’apparence très grossière et répugnante, manifestement dotée d’une force prodigieuse, et que je ne souhaitais pas approcher de trop près. Ayant suffisamment satisfait ma curiosité, j’ai jeté une pierre sur l’animal, qui s’est aussitôt enfui, accompagné par une volée d’oiseaux.»

Mais, comme d’habitude en ces domaines, si les observations sont légions, les preuves manquent encore à l’appel malgré les efforts inlassables des traqueurs de Yowie australiens. Toutefois, le spécialiste de la créature Dean Harrison, qui a consacré sa vie à la quête de l’élusif bipède, est convaincu d’avoir obtenu des images décisives filmées avec une caméra thermique.

(Suite de l’article dans Paris-Match)

La tortue géante découverte aux Galapagos appartient bien à une espèce déclarée éteinte

La tortue géante découverte aux Galapagos appartient bien à une espèce déclarée éteinteL’Equateur a confirmé mardi, après des analyses ADN, que la tortue géante découverte en 2019 dans l’archipel des Galapagos appartient bien à une espèce que les experts pensaient éteinte depuis plus d’un siècle.

« On la croyait éteinte depuis plus de 100 ans! Nous avons confirmé son existence. La tortue de l’espèce Chelonoidis phantasticus a été découverte aux #Galapagos », a tweeté le ministre de l’Environnement, Gustavo Marique.

Afin de déterminer précisément son espèce, une équipe de généticiens de l’université américaine de Yale a comparé l’ADN de cette tortue femelle retrouvée sur l’île de Fernandina avec celui d’un mâle, le dernier à avoir été répertorié aux Galapagos en 1906. Ce spécimen est aujourd’hui une pièce de musée et appartient à l’Académie des sciences de Californie.
La tortue géante Chelonoidis phantasticus est endémique de Fernandina, une île inhabitée de 638 km2 des Galapagos, archipel volcanique du Pacifique célèbre pour sa faune et sa flore uniques au monde.

Elle est l’une des 15 espèces de tortues géantes recensées dans l’archipel, dont deux éteintes, la Chelonoidis spp de l’île Santa Fe, et la Chelonoidis abigdoni de l’île Pinta.

(Retrouvez l’article entier sur  Geo.fr)

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