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Meilleurs Voeux 2025 à tous !
De bonnes et de mauvaises nouvelles pour commencer l’année….
Deux hommes de l’Oregon ont perdu la vie en cherchant le Sasquatch la veille de Noël
Deux hommes de Portland, en Oregon, ont été retrouvés morts dans une forêt de l’État de Washington après être partis à la recherche de Sasquatch, ont indiqué les autorités samedi.
Au lendemain du Réveillon, un membre de la famille avait signalé auprès de la police qu’ils n’étaient pas revenus d’un voyage dans la forêt nationale de Gifford Pinchot, située dans l’Etat de Washington. Les deux hommes cherchaient à prouver la présence de la créature légendaire Bigfoot, un primate bipède poilu, dans la forêt.
Les recherches ont impliqué plus de 60 bénévoles qui ont cherché avec des avions et des chiens dans un terrain très boisé et dans des conditions météorologiques extrêmement froides, a déclaré le bureau du shérif du comté de Skamania dans un communiqué de presse.
Conditions météorologiques
«Les deux décès semblent être dus à l’exposition au froid, compte tenu des conditions météorologiques et du manque de préparation», est-il indiqué dans le texte. Le bureau du shérif a trouvé une voiture appartenant aux victimes près de la ville de Willard et les recherches se sont recentrées sur cette zone.
Des drones ont également été utilisés et une équipe d’hélicoptères des garde-côtes a été appelée pour aider aux recherches. Les autorités n’ont pas fourni les noms des deux victimes, âgées de 37 et 59 ans.
Ils semblent être morts de froid, explique le bureau du shérif du comté de Skamania via Facebook. La météo et le manque de préparation des hommes ont conduit le bureau à tirer cette conclusion.
Les deux hommes ont été retrouvés dans une zone très boisée de la forêt nationale de Gifford Pinchot, à environ 240 kilomètres au nord-est de Portland.
Souris aquatique, poisson à tête difforme, des chercheurs ont découvert une trentaine d’espèces inconnues !
En 2022, une expédition de l’ONG Conservation International au Pérou a permis de découvrir 27 nouvelles espèces animales, dont quatre nouveaux mammifères, huit poissons, trois amphibiens et dix papillons, qu’ils révèlent aujourd’hui.
« Découvrir quatre nouveaux mammifères au cours d’une expédition est surprenant, mais les trouver dans une région où les populations humaines sont importantes est extraordinaire », a déclaré Trond Larsen, qui dirige le programme d’évaluation rapide de Conservation International au Moore Center for Science.
Une souris amphibie aux pattes palmées et un poisson à tête en forme de goutte font partie des 27 nouvelles espèces découvertes par les scientifiques au Pérou.
Ce poisson à « tête en forme de goutte » est une nouvelle découverte scientifique, mais le peuple indigène Awajún qui a participé à l’expédition était déjà au courant de son existence. Les scientifiques ont été particulièrement choqués par sa tête agrandie, quelque chose qu’ils n’avaient jamais vu auparavant.
Ils ont été découverts lors d’une expédition dans l’Alto Mayo – qui comprend la forêt amazonienne.
Un écosystème fragile à protéger
L‘ONG a recensé plus de 2 000 espèces au cours des 38 jours d’expédition. Parmi elles, 49 espèces sont considérées comme menacées par la liste rouge de l’UICN.
« Il s’agit d’une mosaïque vibrante et dynamique d’écosystèmes, à la fois naturels et anthropiques, que nous devons maintenir et restaurer si nous voulons protéger les espèces qui s’y trouvent. Cette compréhension plus complète du lieu de vie des espèces nous aide à identifier les zones présentant le plus grand potentiel de conservation ou de restauration de la biodiversité, ainsi que celles qui conviennent le mieux à des activités durables telles que l’écotourisme, l’exploitation forestière sélective, l’agriculture et l’exploitation des ressources », a expliqué Larsen.
Les données récoltées pendant l’expédition serviront à former un corridor écologique essentiel à la persistance des espèces.
(Source: Futura Sciences et BBC)
Grand Mékong : une richesse de biodiversité qui semble infinie, désormais 234 nouvelles espèces décrites
La région connue sous le nom de Grand Mékong couvre six pays traversés par le fleuve du même nom : Cambodge, Laos, Birmanie, Thaïlande, Vietnam et Chine. Dans ce domaine, un point chaud de la biodiversité les organisations environnementales ont révélé que 163 espèces ont été découvertes rien qu’en 2015, portant le total à 2 409 depuis 1997.
La grande région du Mékong attire les scientifiques de la conservation en raison de l’incroyable diversité d’espèces qui continuent d’être découvertes ici.
Ces scientifiques, héros méconnus de la conservation, savent qu’ils sont engagés dans une course contre la montre pour garantir la protection de ces espèces nouvellement découvertes..
Un hérisson aux crocs de vampire et un serpent aux écailles qui ressemblent à de longs cils font partie de la 234 espèces d’animaux et de plantes découvertes par les chercheurs de la région Grand Mékong en 2023.
Dans votre rapport annuelle groupe environnemental a documenté la découverte de 173 espèces de plantes vasculaire, 26 reptiles, 17 amphibiens, 15 poissons et trois mammifères au Cambodge, Laos, Birmanie, Thaïlande et Vietnam, ce dernier étant le pays où le plus d’espèces ont été découvertes.
Chacune de ces espèces est un élément fondamental d’un écosystème sain et fonctionnelle et un joyau du riche patrimoine naturel de la région.
Beaucoup de ces espèces sont déjà en danger d’extinction en raison des activités humaines, comme l’ont signalé les organisations environnementales qui ont demandé aux gouvernements de la région d’augmenter les politiques économiques et les fonds pour accroître la conservation des espèces dans leurs pays respectifs.
(Source Espèces-menacées.fr )