Brêves 2003

13/01/2003

Géronimo contre le Calmar Géant

Deuxième nuit d’affilée de ralentissement pour Géronimo d’Olivier de KERSAUSON, qui tente de battre le record du tour du monde à la voile en équipage, cette fois il s’est agi ni plus ni moins d’un calamar géant et cela s’est passé dans l’Atlantique à la latitude de Gibraltar, a indiqué, lundi, le skipper du trimaran géant dans une liaison satellite.
« J’étais à la barre, j’ai senti des vibrations anormales. C’était trop fort. Nous avons ralenti le bateau. On ne voyait pas bien ce que c’était. On a affalé les voiles, on a sorti les torches, on ne voyait rien, a dit le skipper. Didier RAGAULT (un des deux seconds) est descendu dans l’habitacle pour chercher à comprendre de l’intérieur ce qui se passait. D’un seul coup il a vu quelque chose qui bougeait. C’étaient des tentacules. »
« Ca tirait super-fort. On a fait de l’eau vers le roulement, a poursuivi Olivier de KERSAUSON. Quand nous nous sommes arrêtés, les tentacules se sont décrochés. On l’a vu à l’arrière du bateau, il était énorme. Cela fait quarante ans que je navigue, je n’avais jamais vu ça. J’en ai entendu parler. Tous les marins ont entendu ce genre d’histoires. Du temps où je naviguais avec Eric TABARLY et Alain COLAS on en parlait et on se disait qu’il devait falloir y aller à coup de hache. »

Parti samedi 11 janvier à 03 h 00 min 09 sec GMT (04 h 00 min 09 sec heure de Paris), Olivier de KERSAUSON doit être de retour avant le 16 mars à 11 h, 36 min, 33 sec (GMT) pour battre le record établi par le Français Bruno PEYRON et son équipage à bord du catamaran géant Orange en 64 j 08 h 37 min et 24 sec.
Lundi à 15h25 GMT, Geronimo se situait par 31°, 02 Nord et 16°, 50 Ouest ce qui devrait lui permettre d’arriver dans la zone des îles Canaries mardi. Sur la deuxième journée (entre dimanche et lundi 03h00 GMT), il avait couvert 485 noeuds à la moyenne de 20,21 noeuds. Sur les premières 24 heures (entre samedi et dimanche à 03h00 GMT) le trimaran géant avait progressé de 472 milles à 19,28 noeuds de moyenne horaire.

PARIS (AFP), le 13-01-2003

06/05/2003

Découverte d’une méduse de grande taille et d’un type nouveau

 Découvrir une nouvelle espèce de méduse est assez banal : au cours des 20 dernières années, on en a décrit une cinquantaine. Découvrir une méduse inconnue de grande taille est déjà plus rare ; mais que dire de la découverte d’une espèce à la fois de grande taille et d’un type radicalement nouveau ?

C’est pourtant ce qui est arrivé à George MATSUMOTO, du Monterey Bay Aquarium Research Institute en Californie.

L’espèce a été notamment filmée par une caméra montée sur un véhicule sous-marin télécommandé, le ROV Tiburon, à qui l’animal doit son nom scientifique de Tiburonia granrojo.

Le dôme arrondi de cette méduse mesure 60 à 90 cm de diamètre, et sa couleur rouge a inspiré son nom spécifique (granrojo = « grand rouge »). Mais surtout, alors que les méduses possèdent des filaments pêcheurs recouverts de cellules urticantes, cette espèce n’en possède pas du tout. Inversement, elle possède des bras épais, lui conférant ainsi une allure de poulpe, et suggérant un mode de prédation radicalement différent des espèces connues. Plus étonnant encore, certains individus ont 4 bras, alors que d’autres en ont 6 ou 7 !

Pour en savoir plus :

MATSUMOTO, George, Kevin A. RASKOFF, and Dhugal J. LINDSAY

2003 Tiburonia granrojo n. sp., a mesopelagic scyphomedusa from the Pacific Ocean representing the type of a new subfamily (class Scyphozoa : order Semaeostomeae : family Ulmaridae : subfamily Tiburoniinae subfam. nov.). Marine Biology, online version (April 15).

(Merci à Michel RAYNAL pour l’info)

07/05/2003

Un vétérinaire est convaincu que sa découverte donne une preuve décisive de l’existence des « Big Cats »

Un vétérinaire croit qu’il a trouvé une nouvelle preuve que de grands chats se cachent dans les bois épais du Moray.

Aron BOWERS est convaincu d’avoir découvert des empreintes appartenant à un félin de la taille d’un lynx ou d’un puma.

M. BOWERS a fait sa découverte près de Pluscarden, d’où proviennent un certain nombre d’observations de grands chats depuis 20 ans. Les emprientes mesuraient trois pouces de diamètre et trois-quarts de pouce en profondeur, suggérant qu’ils avaient été laissés par un animal beaucoup plus grand et plus lourd qu’un chat domestique ou même qu’un chat sauvage.

M. BOWERS a fait un moule en plâtre des empreintes qui ovaient été laissées dans le sable humide. Il a aussi pris une série de photographies.

Ce ne sont pas les premières grandes empreintes de chat qu’il a trouvéen se promenant dans la campagne de Moray, mais il croit qu’elles sont les plus persuasives. «Je suis convaincu qu’elles sont l’oeuvre d’un chat plutôt que d’un chien parce qu’il n’y a aucune marque de griffe, » a dit M. BOWERS, vétérinaire à Elgin. « ajouté à la taille des empreintes, cela suggère que la bête doit avoir pas loin de la taille d’un lynx ou d’un puma. »

M. BOWERS s’est passionné pour les observations de grands chats depuis qu’ il s’est installé au Moray il y a cinq ans.

Il a rencontré par hasard un certain nombre de moutons morts pour lesquelles sa connaissance professionnelle lui a permis d’affirmer qu’ils n’ont pas été tués par des chiens ou des renards à cause de la manière par laquelle les carcasses ont été dépouillées.

Les observations de grands chats dans le Moray et ailleurs en Ecosse ont augmenté régulièrement depuis les premiers rapports au début des années 80. Finalement un a été capturé et selon les experts ils s’agirait d’ hybrides de chats domestiques et de chats sauvages écossais.

Selon la théorie de M. BOWERS les grands chats hantant dans la campagne sont les descendantss d’animaux abandonnés dans la nature suite à la promulgation en 1976 du Dangerous Wild Animals Act qui exige que les propriétaires aient obtenu une autorisation et qu’ils puissent assurer que leurs animaux sont correctement en cage. Il croit que quelques propriétaires qui ne pouvaient pas se permettre de remplir les exigences de la législation ont préféré abandonner leurs chats plutôt que de se mettre en conformité avec la loi.

Raymond SHEWAN

08/05/2003

Bigfoot symposium

Cette année, en septembre et pour la première fois, un symposium sur le Bigfoot aura lieu à Willow Creek pendant 3 jours. Il rassemblera les grandes figures de la recherche hominologique.La place d’honneur sera attribuée à Jane Goodall, qui a consacré sa vie à l’étude des chimpanzées.

Seront aussi présents des scientifiques du Musée Darwin de Moscou ainsi que des zoologistes et des experts en criminalistique américains.

Ainsi nous pourrons y rencontrer les Russes Dmitri BAYANOV et Igor BOURTSEV.

John GREEN sera également de la partie. GREEN est une des figures emblématiques de la première heure. En 1958, journaliste à l’époque, il commença à s’intéresser de près à l’existence du Bigfoot suite à l’affaire de Bluff Creek. Durant sa longue carrière d’enquêteur, il recueillit des centaines de témoignages de rencontres avec le Bigfoot. Il vit actuellement en Colombie Britannique, autre région mythique.

Les autres intervenants seront, notamment, Jeffrey MELDRUM de l’Université d’Etat de l’Idaho, qui nous entretiendra de l’évolution de la bipédie. L’enquêteur criminel texan Jimmy CHILCUTT nous expliquera comment il découvrit des empreintes digitales sur les plâtres de pieds de Bigfoot.

Le symposium se déroulera du 12 au 14 septembre et le montant de la participation est de US $ 125.

17/05/2003

Bon anniversaire Nessie

Le 2 mai dernier, voici tout juste 70 ans que le résident du Loch Ness est entré sous les feux de la rampe.La naissance de cette image mondialement célèbre se produisit le 2 mai 1933, avec l’article de l’Inverness Courier « A Strange Spectacle on Loch Ness ». (Un Etrange Spectacle sur le Loch Ness) écrit par un certain Alex Campbell.

La presse mondiale s’empara de l’histoire et la suite est…de l’Histoire.

La base officielle du Fan Club de Nessie à Inverness a déclaré ce jour Journée Internationale du Monstre du Loch Ness.

Son président Gary CAMPBELL déclare : « Il faut mettre ne évidence que même si la recherche scientifique a beaucoup progressé ces dernières années, quelques mystères sont encore sans réponses.»

Il dit que beaucoup d’équipes venant effectuer des recherches sur le lac et son monstre sont découragées par ses dimenssions.

Avec ses 810 pieds de profondeur, il contient plus d’eau que tous les réservoirs et lacs d’Angleterre et du Pays de Galles réunis. Et d’ajouter : « Le loch représente un véritable challenge pour les chasseurs de Nessie».

Depuis 1933, il y a eu plus de 1000 rapports d’observations de Nessie.

On considère que Nessie a stimulé l’économie des Highlands par millions de livres sterling en attirant des troupeaux entiers de visiteurs se ruant sur le pays, sans compter les recherches de pointes avec des caméras sous- marines, des sonars et des radars cherchant à détecter la créature.

11/06/2003

Dimanche passé, Nessie a décidé de fêter son anniversaire…..

Dimanche dernier, un jour exceptionnel pour les observateurs de Nessie : il n’y eut pas moins de 3 observations

Deux des observations furent faites à partir du bateau de croisière touristique Royal Scot et la troisième fut l’oeuvre d’un pêcheur aux environs de 22h.

Toutes eurent lieu dans le périmètre de Fort Augustus.

L’attention du skipper du Royal Scot, qui demande à garder l’anonymat, se focalisa sur une vague se déplaçant à vive allure vers 2 heures de l’après-midi. L’homme croit qu’il fut la seule personne à bord à l’avoir remarquée.
«Le loch était calme et comme un miroir. La vitesse de l’objet était de 30-35 miles à l’heure. Nessie chassait probablement du saumon. On aurait dit une machine à dévorer du poisson.»

La seconde observation se produisit à 20h et dura 35 minutes et eut cette fois comme témoins 25 passagers et 3 membres d’équipage du Royal Scot.

«Ce que nous vîmes fut le dessus d’une bosse de 4 à 5 pieds de long et de 5 à 6 pouces hors de l’eau. Il rasait simplement la surface de l’eau» précisa le skipper.

Ces observations se produisirent une semaine après que le sonar du bateau eut détecté dans la même zone un objet de 20 pieds de long et dont le poids fut estimé à 2 tonnes, à 320 pieds sous la surface du loch.

La troisième observation provient de la Baie de Borlum. Le pêcheur responsable de celle-ci vit quelque chose immobile à la surface pendant 3 ou 4 minutes avant que cet objet ne fît un rouleau sous l’eau et disparût. Dans sa description, il parle d’un objet presque noir et d’une taille voisine à celle d’un phoque.

Gary Campbell du Loch Ness Monster Fan Club est heureux de temps d’observation après une année plus que calme : « Trois observations en un jour! c’est un véritable record!»

(D’après « The Inverness Courier « )

05/07/2003

Découverte confirmée d’une pieuvre géante de 13 tonnes sur une plage du Chili

L’exemplaire découvert au Chili a été examiné par des scientifiques qui l’ont photographié et ont prélevé des échantillons de ses tissus.

une pieuvre géante de 13 tonnes et de 12,40 m de long a été découverte fin juin morte échouée sur une plage du sud du Chili, a annoncé le Centre de Conservation des Cétacés de Santiago (CCC).

Ce céphalopode a été trouvé le 24 juin près de Los Muermos, non loin du port de Maullin, sur la côte du Pacifique, au sud-ouest de la ville de Puerto Montt, située à un millier de km au sud de Santiago, indique le CCC.

La dernière pieuvre d’une taille similaire avait été retrouvée en 1896 sur la péninsule de Floride (Etats-Unis), précise-t-on de même source.

« Nous sommes en train d’envoyer des échantillons et des informations à des groupes de recherche de France, d’Italie et des Etats-Unis, outre ceux du Chili, pour permettre la classification » de cette pieuvre, a déclaré mercredi Elsa CABRERA, la responsable du CCC.

Le zoologiste italien Lorenzo ROSSI, spécialiste de la faune marine ayant été l’un des premiers à recevoir des photographies de la pieuvre de Maullin a estimé qu’elle était similaire à celle découverte il y a 107 ans en Floride, a indiqué Elsa CABRERA.

(d’après AFP)

07/07/03

Les restes du céphalopode seront envoyés en France pour des études scientifiques plus poussées.

12/07/2003

Premiers examens sur l’Epave du Chili

Des examens sur le fameux « blob » du Chili montrent qu’il s’agit bien d’un cachalot en décomposition…

C’était l’hypothèse que le cryptozoologue français Michel RAYNAL privilégiait depuis le début, car malgré certains points communs avec le « monstre de Floride » de 1896, on pouvait noter des différences significatives : l’absence d’organes, la forme très improbable pour un céphalopode de ce que l’on qualifiait hâtivement de « tentacules », etc.

Il ajoute que l’on ne possède aucun témoignage valable sur l’existence de poulpes géants dans le sud-est du Pacifique, comme le savent les lecteurs de ses récents articles à ce sujet publiés dans notre périodique Cryptozoologia (alors qu’à l’inverse, on possède de tels rapports pour l’Atlantique du nord-ouest, habitat supposé de l’Otoctopus giganteus).

16/07/2003

Une nouvelle espèce de poisson découverte en Amazonie

Des scientifiques disent avoir découvert en Amazonie une nouvelle espèce de poisson, ce qui n’est pas arrivé depuis plus d’un siècle, et espèrent pouvoir classifier cet animal ressemblant à une anguille d’ici la fin de l’année.

« C’est une nouvelle espèce qui va nous obliger à créer un nouveau genre et toute une famille animale », a expliqué à Reuters Jansen ZUANON, responsable de la recherche en biologie marine de l’Inpa, l’Institut national de recherche sur l’Amazonie, au Brésil.

Ce poisson a été découvert en 1999 par une chercheuse suisse de l’Inpa, Ilse WALKER, qui menait des études sur les crevettes dans les plaines inondées proches de Manaus, la capitale de l’Etat de l’Amazonie. Depuis, une équipe de quatre scientifiques a étudié plusieurs spécimens.

 « Il n’a toujours pas de nom » a expliqué Jansen ZUANON. « Nous l’avons appelé le poisson mystérieux car il ne rentre dans aucun groupe. Il a un corps allongé avec un mélange de caractéristiques très différents de ceux des autres genres de poissons d’Amazonie ».

 « Une nouvelle famille de poissons n’a pas été répertoriée depuis vraisemblablement 150 ans, alors que la découverte de nouvelles espèces est courante », a précisé le biologiste.

Cette découverte est le dernier exemple en date de la diversité de l’Amazonie, une région forestière tropicale plus étendue que l’Europe de l’Ouest qui abrite près de 30 % des espèces animales et végétales de la planète.
Le poisson a un corps allongé comme une anguille mais il a aussi des nageoires. C’est un carnivore long de 15 cm dont la queue ressemble à celle de l’ Arapaima gigas, ou pirarucu, un des plus grands poissons d’eau douce qui peut atteindre cinq mètres de long pour 200 kg. Curieusement, il dispose de 10 branchies au lieu de deux ou trois habituellement, ce qui fait penser aux scientifiques qu’il peut respirer en surface.

 « Pour ce que nous en savons, il se nourrit de crevettes et d’insectes aquatiques, se reproduit au début de la saison des pluies et dispose de cette faculté respiratoire inhabituelle (qui fait qu’il) ne dépend pas seulement de l’oxygène qui se trouve dans l’eau, explique ZUANON. (Reuters)

 16/07/2003

Une nouvelle expédition Japonaise sur les traces du Yéti

Un alpiniste japonais de 60 ans a décidé de mener une expédition d’une durée de deux mois dans l’Himalaya à la recherche du mythique yéti, a annoncé mardi la famille de l’aventurier.Yoshiteru TAKAHASHI, doit quitter le Japon le 10 août, accompagné de cinq hommes, pour rejoindre Katmandou (la capitale du Népal), où une septième personne les attendra, a indiqué Masako TAKAHASHI, l’épouse de Yoshiteru.

« Il est convaincu de l’existence du yéti depuis 30 ans et il est persuadé que la quête du monstre est la dernière aventure romantique possible dans l’Himalaya », a-t-elle ajouté.
M. TAKAHASHI a escaladé les pics de Dhaulagiri à deux reprises dans les années 1970 et 1982. Il y est retourné en 1994, dans le seul but de trouver le yéti, en vain.
« Il ne l’a jamais filmé mais a senti une forte odeur d’animal et vu des traces de pieds nus qui ressemblaient à celles d’un petit enfant et mesuraient entre 10 et 20 centimètres » a raconté Mme TAKAHASHI, âgée de 56 ans.
Les membres de son équipe, âgés de 31 à 60 ans, devraient rester dans le massif de Dhaulagiri (Montagne Blanche), dont le pic principal est haut de 8.167 mètres.
Ils espèrent repérer le yéti à l’aide d’au moins quatre caméras à infrarouge.

Mi-homme mi-singe, cet être vivrait en fait très haut dans les forêts touffues du Népal et du Tibet, où on le connaît aussi sous le nom du « migou ».

 (AFP), le 15-07-2003)

16/07/2003

Le légendaire monstre du lac Tianchi, version chinoise de celui du Loch Ness, est réapparu

Le 11 juillet au matin, plusieurs cadres locaux ont aperçu une colonie de créatures nageant sur le lac qui baigne les monts Changbai, dans le nord-est de la province de Jilin, rapporte mardi le Beijing Youth Daily.

« En 50 minutes, les monstres sont apparus cinq fois », précise le journal en citant Zhang Lufeng, directeur adjoint du services forestier provincial. « Parfois il y en avait un, parfois plusieurs. La dernière fois, il y en avait une vingtaine. »
 
Les créatures, observées à deux ou trois kilomètres de distance, se présentaient selon lui comme des taches blanches ou noires. Mais du fait des ondulations qui se formaient sur l’eau, les responsables locaux ont conclu que ces taches étaient des « êtres vivants. Les autorités n’ont pas commenté ces informations.
En 1903, selon des archives locales, une créature qui ressemblait à un énorme buffle avait surgi de l’eau dans un rugissement assourdissant et tenté d’attaquer trois personnes avant que l’une d’entre elles ne lui tire six fois dans le ventre. La bête a ensuite disparu dans les eaux…

(Reuters)

17/07/2003

Le fossile d’un plésiosaure découvert au Loch Ness

Les traces d’un plésiosaure datant de 150 millions d’années ont été relevées sur les rives du lac du Loch Ness, en Ecosse, mais ce ne sont assurément pas celles du monstre légendaire de ce lac, ont annoncé des scientifiques mercredi.

Ce fossile du jurassique comporte quatre vertèbres bien préservées qui auraient appartenu à un plésiosaure de plus de 10 mètres de long. Il a été découvert par un homme qui l’a retiré d’une eau peu profonde, sur les bords du Loch Ness.

Gerald McSORLEY, 67 ans, a remis le fossile au Musée national d’Ecosse où l’on examine cette découverte rare, la première de cette importance dans la région depuis un siècle.« Les chances que le fossile soit originaire de l’endroit où il a été découvert sont très minces (…) Il a été déposé là, par des moyens naturels ou non »,a indiqué Hannah DOLBY, porte-parole du musée. 

« Des prélèvements montrent que le fossile provient d’un environnement marin plutôt que d’un milieu d’eau douce comme le Loch Ness », a-t-elle ajouté.

Des récits évoquant une « bête horrible et de grande taille » circulent depuis des siècles au sujet du lac écossais, dont la profondeur atteint 200 mètres (en fait 260m (Cryptozoologia)). « Nessie » est souvent décrit comme une créature noire au corps épais et au cou de serpent.

Des webcams filment en permanence le lac et des équipes de plongée sous-marine passent régulièrement au peigne fin ses eaux froides, à la recherche de l’insaisissable animal. Mais les amateurs du monstre en seront pour leur frais avec le fossile, qui ne peut en aucun cas prouver l’existence de la créature. Alors que le fossile remonte à 150 millions d’années environ, le Loch Ness ne s’est formé qu’il y a 10.000 ans, à la fin de l’ère glaciaire.

(d’après Reuter)

24/07/2003

Le « monstre » du Seljordsvatnet fut à nouveau observé.

‘Selma’, l’insaisissable « serpent-de-mer » de Seljord au Telemark (Norvège), a de nouveau été observé. La période qui s’étend du 23 juillet au 23 août sont les jours où traditionnellement la bête légendaire est observée dans le Lac Seljord, selon le journal Telemarksavisa .

Il est réjouissant d’entendre qu’elle est toujours en vie » déclare Bernt SOLVOLL, enthousiaste directeur de la culture de Seljord.

Cet été il n’y avait pas eu une seule observation ni par un touriste ni par des résidents, et l’année précédente fut également extrêmement calme. Mais mercredi, le propriétaire d’un chalet près du lac appela SOLVOLL .

« Il se déclare lui-même comme une homme calme et ayant les pieds sur terre. Il craignait d’être traité d’idiot et ne donna pas son nom » déclare SOLVOLL au Telemarksavisa.

Le propiétaire du chalet fit son observation alors qu’il était en compagnie d’un ami. Il déclara qu’ils avaient vu ce qui paraissait un « serpent » poursuivant un autre serpent. Les hommes filmèrent l’observation et le témoin promit de reprendre contact avec SOLVOLL dans quelques jours pour lui montrer la vidéo.

« Qu’ils virent deux serpents se poursuivre signifie que la saison des amours commence pour ceux-ci. Le « monstre » apparaît habituellement de la mi-juillet à la fin août, quand il fait bon et chaud « , ajoute SOLVOLL
Les observations au Lac Seljord datent depuis le XVIIIe siècle et le « serpent  » a attiré l’attention de l’explorateur suédois Jan Ove SUNDBERG qui a l’intention de repartir pour les profondeurs du lac l’été prochain. (voir notre section « Expéditions » dans « Activités »).
SUNDBERG a promis d’y revenir avec des équipements plus perfectionnés que ceux qui furent utilisés dans les traques précédentes du « serpent », et de déclarer qu’il possède une vidéo de « quelque chose d’indéfini » d’une créature de 8-10 m. de long de son dernier voyage.
  

« Cela pourrait être un énorme monstre d’eau douce avec lequel nous sommes entrés en contact, mais l’année prochaine nous trouverons la solution du mystère » annonce SUNDBERG

 

25/07/2003

Nouveaux indices sur l’existence de l’Orang Pendek

Des chasseurs de monstres occidentaux ont révélé qu’ils étaient revenus d’une expédition en jungle avec la preuve éventuelle d’un « yéti » indonésien.

L’intrépide équipe du Centre de Zoologie Fortéen britannique (CZF) a passé plus de 3 semaines dans les jungles embrumées de Sumatra à la recherche du légendaire homme-singe Orang Pendek.

Rentrés cette semaine au centre situé dans l’Exeter, ils disent qu’ils en ramènent des indices qui pourraient prouver l’existence de la créature, qui a à la fois terrifié et captivé les gens en Indonésie depuis des siècles.

L’Orang Pendek, que l’on peut traduire part « petit homme, est avant tout un anthropoïde bipède, d’une taille de 1m50 environ. Il est plus malin que ses cousins quadrupèdes et particulièrement fort.

Pour les indigènes il est un membre légendaire de la faune de Sumatra, mais vu qu’il n’a jamais été filmé, beaucoup doute de son existence.

Ce n’est pas le cas de l’équipe du CFZ , qui a enquêté sur l’étrange et mystérieux animal depuis sa fondation en 1992.

« Nous avons trouvé des empreintes de pas et des poils qui pourraient appartenir à l’Orang Pendek » annonce le zoologiste de l’équipe Richard FREEMAN.
 
« Nous n’avons pas pu prendre de plâtres parce qu’il pleuvait de trop, mais nous avons pris des photos. Plus loin sur le sentier nous avons trouvé plusieurs plantes brisées, éparpillées de tous côtés avec des marques de dents intéressantes sur certaines branches qui nous mirent sur la piste, dirons-nous, des plantes dont la créature se nourrit.. »
 
Les spécimens de poils, certains longs et bruns, d’autres clair et pâle, ont été confiés pour étude à l’Université de Copenhagen, bien que les empreintes de pas et les marques de dents furent aussi envoyés pour une vérification indépendante. Si ceux-ci se révèlent provenir d’une espèce inconnue, le CFZ aura fait un pas immense vers la preuve de l’existence de la créature.
 
 « Nous avons réellement besoin de films et de photos de la créature, affirme Richard.  » Mais cela pourrait être un grand bond en avant. » « 
 
Les intrigantes traces fut recueillie aux alentours du lac volcanique isolé de Gunung Tujuh, dans les sommets du Kerinci National Park.
L’enquête de l’équipe s’est aussi chargée de récolter des témoignages d’indigènes qui ont déclaré avoir vu l’animal, ainsi que de l’ex-journaliste Debbie MARTYR. Elle quitta le Royaume-Uni en 1992 pour chercher l’Orang Pendek. Elle y est restée et travaille dans un programme de protection du tigre.

« Pendant les 10 années qu’elle a passé là, elle l’a vu plusieurs fois, «  ajoute Richard.  » et mon guide m’a raconté que dans les années 1980 son père était occupé à couper du bois quand il vit l’Orang Pendek. Il dit qu’il était brun-beige, de petite taille avec de fortes petites jambes et de long bras. Il ne semble pas agressif, mais extraordinairement fort. »

26/07/2003

Une famille capture un chat géant sur vidéo

Une famille des Highlands est tout excitée d’avoir trouvé le moyen de capturer les déplacements d’un « big cat » en vidéo. Les PATERSON, de Upper Carse, Ardersier, filmèrent l’animal à allure de panthère de la fenêtre de la pièce avant de leur maison.

La séquence vidéo montre une créature d’environ la taille d’un labrador avec une queue de félin.

Tracy PATERSON, 32 ans, explique: « Nous pouvons voir les champs de Carse Wood et nous y avons souvent vu des renards et des cerfs se hâtant. J’étais assis prenant une tasse de thé aux environs de 9h40, mercredi, quand je vis quelque chose se déplacer dans les champs. Je saisis mes jumelles pour voir l’animal et alors je réalisai que ce que je voyais était un très gros chat noir. Il musardait à travers champs. »

Mrs PATERSON pensa que son mari, James, ne la croirait jamais qu’elle avait vu un Big Catwould never believe she had seen a big cat… donc elle réveilla sa fille de 11 ans, Rebecca.

Mrs PATERSON de continuer : « Nous étions maintenant deux réellement excitées et nous désirâmes enregistrer l’observation sur vidéo, mais nous ignorions comment l’appareil fonctionnait et donc nous réveillâmes ma fille aînée, Michaela, qui a 14 ans. Elle mis en marche la caméra et nous filmâmes le chat se déplaçant non-chalamant dans le champ. »

Mrs PATERSON said the creature had moved towards fencing beside a road avant de disparaître dans de hautes herbes. L’observation dura plus de cinq minutes.

L’observation que Mrs PATERSON déclara à la police, était la seconde dans la zone en l’espace d’une semaine. La première fut faite par un habitant qui se rendait en voiture à son travail.

Mrs PATERSON ajouta :  » Je n’avais jamais vu quelque chose comme celle-là auparavant. Il y a à n’en pas douter un Big Cat qui rôde là dehors. »

Mark FRASER de la British Big Cat Society (Ecosse), était très impatient de découvrir le film : « J’enquête sur les observations de Big Cats depuis 15 ans bien que je n’en ai pas vu moi-même jusqu’à présent. En outre, Je crois fermement qu’il y a de grands chats dans la région d’Inverness et j’aimerais me rendre à Ardersier pour voir la vidéo faite par les Paterson. »

Ces rapports d’observations provenant de la zone de Carse Wood ne sont pas les premiers.

31/07/2003

Des soldats aperçoivent la « Nessie chinoise »

Un groupe de soldats chinois disent qu’ils ont eu une brève vision d’une version locale du Monstre du Loch Ness.

Dans un pays connu pour ses dragons, les 12 miliciens disent qu’ils virent une créature avec une tête noire aux cornes de 10 cm et un dos écailleux surgissant du lac Tianchi dans la province de Jilin, dans le nord-est de la Chine.

La créature nagea en cercle pendant environ deux minutes avant de disparaître, selon l’agence d’Etat officielle Xinhua.

Ces témoignages viennent quelques jours après que l’enquête de la BBC « prouve » que Nessie – comme on appelle affectueusement le Monstre du Loch Ness – n’existe pas.

Ce n’est pas la première fois qu’un monstre a été vu des rives du Lac Tianchi.

Xinhua poursuit qu’une apparition similaire avait été vue cinq fois durant un espace de temps d’environ 50 minutes plus tôt dans le mois.

SAUMON MORTEL

Juillet semble être la période de prédilection pour apercevoir la « Nessie » chinois », ainsi des centaines d’observateurs déclarent l’avoir vue en même temps l’année dernière.

Comme en Ecosse, des rumeurs que le lac volcanique chinois, profond de 373 mètres, est le repaire de quelque sorte de monstre y circulant depuis plus d’un siècle.

Mais des scientifiques affirment que le lac est trop froid pour de grandes créatures et des éruptions volcaniques dans ces 300 dernières années pourrait rendre la vie extrêmement hasardeuse pour un animal faisant de ce lac son domicile.

La Science utilisent des arguments semblables pour refroidir le mythe du Monstre du Loch Ness.

L’équipe de la BBC crut d’abord qu’il y eût pu avoir une chance qu’un reptile marin du genre plésiosaure, qui disparut à l’époque des dinosaures, pourrait avoir survécu dans les eaux glacées du lac écossais. Mais une recherche déployant 600 sonars et une technologie de navigation par sattelite scrutèrent le loch et ne trouvèrent aucune trace de monstre.

La Chine, au moins, peut choisir sur des lieux d’apparition d’un monstre populaire. Le lac Hanas dans le nord-ouest de la région de Xinjiang region est réputé pour héberger une espèce de saumon de 10 mètres de long qui attaque les gens et le bétail.

Le porte-parole de la BBC, par ailleurs, dit que la société n’a pas arrêté de plan pour investiguer l’existence de monstres lacustres chinois.

(BBC News)

15/08/2003

Le zoo d’Omaha teste l’ADN d’un anthropoïde mystérieux

Les scientifiques espèrent que les analyses ADN révéleront les origines d’un grand singe mystérieux découvert au coeur de l’Afrique par une primatologue d’Atlanta.

Des recherches génétiques ont débuté cette semaine au zoo Henry DOORLY d’Omaha sur des échantillons fécaux d’un singe méconnu collectés cet été. Le but est de déterminer s’il s’agit d’une nouvelle espèce, d’une nouvelle sous-espèce ou d’un hybride de chimpanzé et de gorille.

« C’est un nouveau et mystérieux singe et nous sommes occupés à en faire l’empreinte génétique pour en savoir plus ».

 Ces grands singes, qui mesurent 5 à 6 pieds (1,5 à 1,8 m) de haut et dont l’empreinte de pied mesure 14 pouces, furent étudiés pour la première fois l’année dernière par la primatologue Shelly WILLIAMS d’Atlanta dans une forêt du nord de la République Démocratique du Congo.

Ils ont des corps comparables à ceux des gorilles mais leurs traits faciaux sont ceux de chimpanzés. WILLIAMS ajoute que ces animaux dorment la nuit au sol comme les gorilles, mais que leur régime alimentaire riche en fruits est typiquement chimpanzé.

 « Je ne peux encore spéculer sur leur nature exacte. Leurs moeurs sont si inhabituels. Un vrai casse-tête … Je me sens comme le Dr. DOOLITTLE au pays d’Oz.

 En raison de leur taille et de leur discrétion, ces singes n’ont pas de prédateurs, même pas les braconniers qui ne les chassent pas

En juin, WILLIAMS a ramassé des échantillons fécaux dans les nids de ces animaux avant de rentrer de son plus récent voyage au Congo. Mercredi elle a confié ses échantillons au zoo où ils seront comparés par Ed LOUIS (généticien du zoo) à l’ADN des gorilles captifs, des bonobos (chimpanzés pygmées) et des chimpanzés.

« S’il en résulte qu’il s’agit d’une nouvelle espèce d’anthropoïde, ce serait fantastique. De même s’il s’agit d’une hybridation. Mais en ce moment il est impossible de trancher. Biologicalement, il est possible pour un chimpanzé et un gorille d’avoir ensemble une descendance fertile et viable », affirme WILLIAMS.

(d’aprèsThe Associated Press)

 18/08/2003

Thylacine vu près de Melbourne?

Des tigres de Tasmanie, ou thylacines, errent dans les étendues sauvages d’un parc naturel à 25 km de Melbourne, selon au moins 20 observations déclarées auprès du gouvernement de l’Etat de Victoria.

D’après les enquêtes, on dénonce 63 observations possibles de Tigres de Tasmanie et de grands chats en Victoria, incluant un rapport de l’administration des Parcs de l’Etat de Victoria concernant de multiples observations de tigres dans le parc National de Warrandyte, au nord-est de Melbourne.

D’autres témoignagnes parlent d’observations de tigres de Tasmanie, de panthères et de pumas depuis le début de 1990 aux alentours du Parc national de Wilsons Promontory, au sud-est, et aux alentours de la Chaîne des Grampians, à l’ouest du continent australien.

Rappelons que le dernier Thylacine connu est mort en captivité au zoo d’Hobart en 1936. On croit qu’il est éteint en Australie depuis plus de 2000 ans.

Malgré les sérieuses preuves que le tigre de Tasmanie est vivant et se reproduit en Victoria, le gouvernement refuse toujours de prendre le fait en considération. D’autre part, de nombreux témoignages pourtant détaillés et crédibles sont ignorés par les rangers sceptiques et ne sont jamais consignés.

En 1996, le porte-parole du Victorian National Party environment (les Verts locaux) Peter HALL adressa uen requête à la ministre de la conservation de l’Etat Marie TEHAN afin qu’elle ordonne une enquête sur le témoignage de Thylacine au Wilsons Promontory datant de 1993. Miss TEHAN déclina la demande malgré les solides preuves qui y avaient été trouvées à l’époque.

(Extrait d’un article du Sydney Morning Herald -18 août 2003 )

26/08/2003

Le mystérieux Blob chilien n’était que de la peau de cachalot

Pour rappel, une mystérieuse masse de chair gélatineuse de 12,4 m sur 5,4-m. qui s’est échoué en juin provient d’un cachalot (Physeter macrocephalus) et pas d’ un octopus géant (Octopus giganteuscomme certains l’avaient cru.

« Deux analyses d’ADN indépendantes confirment l’identification comme une partie de cachalot « 
CABRERA et ses collègues ont analysè le « blob » échoué sur la plage de Pinuno, près de Puerto Mont, le 23 juin dernier et en ont tiré une première conclusion : la texture et l’odeur de cette masse était bien de la peau de baleine, bien que l’équipe eût suspecté un temps que l’odeur pouvait être celle d’une pieuvre géante.
Au début juillet, des scientifiques du Muséum d’Histoire Naturelle de Santiago analysèrent la morphologie, donc la forme et la structure, d’un échantillon qu’ils ramassèrent sur la plage au sud du Chili et déterminèrent eux aussi que le blob était du cachalot.
CABRERA et son équipe transmirent aussi des échantillons de peau à des scientifiques étrangers pour une autre analyse génétique, parmi eux OLAVARRIA basé à Auckland (USA). OLAVARRIA et Sidney PIERCE, un bilogiste marin de l’Université de Floride du Sud à Tampa, conclurent tous deux que la masse de chair appartenait bien au cadavre d’un cachalot. PIERCE dès le départ de l’histoire l’avait d’ailleurs suspecté. L’affaire était entendue….

(Extrait d’un article de John ROACH pour National Geographic News – 25 août 2003)

01/10/2003

Un homme de Winooski (Vermont) a vu un Bigfoot

Mercredi 24 septembre dernier, à la nuit tombante un habitant de Winooski a cru voir sur la Route 7 une créature ressemblant à un Bigfoot.

Vers 19h10, Ray DUFRESNE, 45 ans, roulait vers le Nord après avoir rendu visite à sa fille au Southern Vermont College, quand il remarqua une « grande chose noire » bipède de plus de 6 pieds de haut (1,83 m) et de 270 livres (122,5 kg) se déplaçant from near le point le plus élevé sur la Route 7.

« Il était velu des pieds à la tête »

Bien que DUFRESNE n’a pas pu voir le visage de l’animal de l’endroit où il se trouvait il put voir pour autant que la créature avait de très longs bras et était couverte de longs poils noirs. Il ajoute qu’elle se dirigeait à l’est, vers les bois en direction de Glastenbury Mountain.
« La première chose à laquelle j’ai pensé était que c’était un costume de gorille et que c’était une blague. Alors, j’ai mis deux et deux ensemble ».
Il n’y avait aucune maison ou voiture abandonnée aux environs, de ce fait DUFRESNE réalisa que la bête noire ne pouvait pas être une personne. De plus, DUFRESNE est un chasseur acharné depuis qu’il a 15 ans, il dit connaître les ours et les élans. Ce n’était ni l’un ni l’autre, dit-il. Bien qu’il avait entendu parlé du phénomène Bigfoot, il n’en avait pas connaissance en ce qui concerne le Vermont.
DUFRESNE atteste aussi n’avoir pris ni drogues ni alcool ce mercredi-là, et ne pas avoir d’antécédents psychiatriques.

Le témoignage de DUFRESNE n’est pas le seul rapport d’observation étrange de telles créatures dans la zone de Bennington.

En fait, le New York Times rapporte que le 18 octobre 1879, deux jeunes chasseurs du Vermont virent un « homme sauvage » alors qu’il chassaient dans les montagnes juste au sud de Pownal. Le Times dit que le fait date du 17 ocotobre 1879 : « Les jeunes hommes décrivent la créature comme un être de 5 pieds de haut, resemblant à un homme quant à la forme et les mouvements, mais couvert entièrement de poils roux brillants et avait une longue barbe en bataille, ains que des yeux très sauvages. Quand il le virent pour la première fois, la créature surgit en bondissant de derrière un promontoire rocheux et se précipita vers les bois proches. Le confondant avec un ours ou un autre animal sauvage, l’un des hommes fit feu et pensa l’avoir blessé car avec force cris de douleur et de rage il se retourna sur ses assaillants les chargeant à grande vitesse. Ils perdirent leurs armes et leurs munitions dans leur fuite et n’y retournèrent pas de peur de rencontrer cet être étrange. »

D’autres témoignages sont beaucoup plus récents. D’après ce que rapporte le site web du  » Space On The Run Newsletter , en décembre 1989 un homme de Eden dans le Comté de Lamoille trouva des empreinte de pas dans la neige mesurant 12 à 14 pouces (30-36 cm) de long et d’environ 6 pouces (15,24 cm) de large. C’était dans une zone distante de 10 miles (16 km) de l’habitation la plus proche.

A East Haven en octobre 1976, une femme qui lisait dans les bois vit quelque chose qui ressemblait à la créature que rencontra DUFRESNE. Elle avait un cou musculeux, une grande tête et de larges épaules. Elle avait aux alentours de 8 à 11 pieds (env. 2,5 m à 3,35 m) de haut, des poils comme ceux d’un grand singe et de longs bras, d’après le site web du Gulf Coast BigFoot Research Organization.

Un rapport similaire à cette description a été également donné par un jeune garçon à Essex Junction en Juin 1994.

(Extrait d’un article de NOAH HOFFENBERG News Editor du Bennington Banner en date du 26 septembre 2003)

07/10/2003

Les fans de Bigfoot se sont réunis à Jeannette, en Pennsylvanie

Personne n’a jamais capturé de Bigfoot, le proto-humain mythique dont la légende apparaît déjà il y a 5.000 ans sur des pétroglyphes amérindiens. Mais les 30 dernières années, de très nombreuses personnes disent qu’ils ont aperçu, senti ou traqué l’animal de 8 pieds (2,5m environ) dans le Comté. Donc il n’est que juste que la «Fifth Annual East Coast Bigfoot Conference/Expo» se soit tenue le mois dernier à Jeannette.

Près de 200 afficionados du Bigfoot se sont rassemblés dans une salle de danse obscure pour entendre des intervenants, examiner des échantillons de poils et des moulages de traces en plâtre, échanger des histoires et des théories.

« Je dirais que la moitié les gens était constituée de chercheurs et de membres de notre groupe, »

ALTMAN a ajouté qu’il s’est chargé de récolter les témoignages locaux sur le Bigfoot pendant cinq ans. Ainsi dans son rapport d’investigation sur la région de Westmoreland pour 2003 on peut trouver les témoignages suivants:

– En janvier à Derry Township, les enquêteurs ont suivi à pied les pistes de deux hominidés énormes sur plus de deux miles (3 km) le long d’une route éloignée, dans la neige profonde. La plus grande empreinte mesurait 18 pouces de long (+-46 cm), 9 pouces de large (+- 23 cm) – un grand pied, en effet.

– En juin, une femme de Derry Township a vu qu’une énorme créature simiesque la regardait cueillir de la laitue dans son jardin.

– En juillet et août, à deux endroits dans la banlieue de Greensburg, quelque chose de grand s’est écrasé avec fracas dans les bois proches des maisons des témoins. Les chiens et les chevaux en furent paniqués. De grandes traces pas tout à fait humaines ont été découvertes le long d’un ruisseau non loin de là. Dans un des cas, des pleurs et un cri étrange ont été entendus dans la nuit.

Aucun des témoins n’a été nommé, ni les emplacements exacts n’ont été fournis – vraisemblablement pour protéger de la raillerie les témoins traumatisés, et l’Homme Velu d’un harcèlement par des «investigateurs» amateurs sans formation.

Paul G. JOHNSON, un professeur de chimie de l’Université de Duquesne, a fait part de ses recherches sur Bigfoot, recherches qu’il a effectuées entre le début et la moitié des années ’90, ainsi qu’une analyse des événements Bigfoot comté par comté. Le Comté de Allegheny a été le théâtre de 31 observations relatées, parmi elles une grand créature noire de 8 pieds venue boire l’eau d’une mare dans le Parc de Allison. Le Comté de Washington en a eu 23; Armstrong 18, et Westmoreland 155.

« Je ne pense pas il y ait plus de Bigfeet habitant le Comté de Westmoreland que n’importe où ailleurs ».

En effet, les autres intervenants de la convention ont esquissé les observations et l’état de la recherche au Canada, Maine, Virginie, Indiana, dans les Etats de Floride et de Washington – même en Russie et en Chine.

JOHNSON a conté qu’il a passé des jours et des nuits entiers dans une vallée éloignée le long de Chestnut Ridge dans les Alleghenies où on prétend que le Bigfoot erre. Il n’a jamais rien vu d’extraordinaire. « Les autres font des rencontres, à maintes reprises, » a-t-dit. « Pourquoi pas moi ? Je ne sais pas. »

Il y avait une multitude de gens à la réunion qui avaient vu quelque chose là-bas.

Bob FRANCE, de Vandergrift, raconta qu’il avait vu un jour une famille entière de ces créatures occupée à cueillir silencieusement des myrtilles. Vince BRUNO, de Kittanning, dit qu’il a vu une paire d’yeux terrifiants qui luisait la nuit dans les bois profonds du Comté de Mc Kean . « Je ne sais pas ce que c’était, mais il y avait quelque chose là-bas », a-il-dit. « Vous ne pouvez pas comprendre jusqu’à ce que vous voyiez ou entendiez quelque chose que vous ne pouvez expliquer. Cet épisode alors vous transforme totalement. »

Le fanatique typique de Bigfoot, à en juger par ceux que l’on a pu voir à la convention, est d’un certain âge, un mâle actif de race blanche en pantalon de camouflage et T-shirt sur lequel est imprimé un portrait du Bigfoot.

Bigfoot n’est pas vraiment beau, mais est un sujet idéal pour les artistes, et tableaux et dessins de lui constituèrent les points chauds d’une enchère pour une collecte de fonds. Les acheteurs s’arrachèrentt des douzaines de DVDs, de CDS, de vidéos et de livres avec les titres comme « Mothman: Les Faits Derrière la Légende » ou « Ma Quête pour le Yeti » ou « Les Chansons de Bigfoot pour la Route. »

(Extrait de l’article Rebekah SCOTT, Pittsburgh Post-Gazette- dimanche, 05 octobre 2003)

15/10/2003

Découverte d’une nouvelle sous-espèce d’éléphant !

Des analyses ADN ont montré que les éléphants vivant sur l’île de Bornéo, partagée entre l’Indonésie et la Malaisie, forment une espèce indigène et génétiquement distincte d’éléphants d’Asie et présentent des caractéristiques différentes de leurs cousins du continent asiatique et de Sumatra. La conservation de cette sous-espèce, dénommée ‘éléphant pygmée de Bornéo’ doit se faire indépendamment des autres éléphants d’Asie. Les éléphants de Bornéo présentent des différences par rapport aux autres éléphants d’Asie. « Ils sont dociles et de tempérament calme comparés aux autres éléphants d’Asie. Les éléphants de Bornéo sont de petites tailles » indique Tengku Zainal Adlin du WWF-Malaisie.

L’origine des éléphants de Bornéo est au centre d’un débat depuis longtemps. Ont-ils été introduits ou sont-ils indigènes ? Une théorie suggère qu’ils soient les descendants d’éléphants domestiqués offerts au Sultan de Sulu par la Compagnie anglaise des Indes orientales au 17e siècle. La seconde théorie soutient qu’ils sont indigènes à Bornéo, provenant de Sumatra via un pont de terres marécageuses lorsque le niveau des mers était abaissé lors de la période glaciaire il y a 10.000 ans. Ils auraient été piégés sur l’île lorsque le niveau des mers s’est élevé et a coupé la liaison avec Sumatra.

Les caractéristiques différentes et le débat sur leur origine ont poussé les scientifiques à découvrir si les éléphants de Bornéo forment une sous-espèce génétiquement distincte. Avec la permission de Département de la vie sauvage du Sabah, le programme AREAS (Asian Rhino & Elephant Action Strategy) du WWF en coopération avec S.O.S Rhino ont collecté des bouses d’éléphants dans différentes zones du Sabah afin d’effectuer des analyses ADN sur les cellules intestinales se trouvant dans le mucus adhérant aux bouses fraîches. Cette technique ne nuit pas aux éléphants étant donné qu’ils ne sont pas capturés pour effectuer ces tests.

Les analyses ADN ont montré que les éléphants de Bornéo ont été isolés de leurs cousins du continent asiatique et de Sumatra il y a environ 300.000 ans. Ils sont devenus plus petits avec de grandes oreilles, une queue plus longue, et des défenses moins courbées. L’histoire évolutive des éléphants de Bornéo justifie leur reconnaissance comme unité évolutive séparée. L’analyse a aussi infirmé la théorie de l’introduction au 17e siècle.

La population des éléphants de Bornéo doit faire l’objet de la plus haute priorité de conservation. Cette conservation doit se faire indépendamment des autres éléphants d’Asie. Les éléphants de Bornéo ne doivent pas être croisés avec les autres sous-espèces lors de gestion ex-situ. D’autres recherches doivent encore être menées notamment concernant leur taux de reproduction, le taux de survie des jeunes et des indicateurs d’effets négatifs de croisements consanguins.

(Infos : WWF-11/09/03)

19/11/2003

Découverte d’une nouvelle espèce de baleine vivante

A la fin des années 1970, huit spécimens de Baleinoptère d’une espèce à l’ identité inconnue furent capturés par un navire de recherche japonais dans les eaux à la latitude la plus basse de la zone indo-pacifique.

La combinaison des échantillons d’allozymes et la maturité physique des huit spécimens les distinctes de toutes les espèces connues de Baleinoptère.

En septembre1998, fut récoltée une carcasse de baleine de taille moyenne sur les côtes d’une île de la Mer du Japon.

Ce spécimen et les huit spécimens précédents ressemblent à Balaenoptera physalus (fin whale) par l’apparence extérieure mais sont beaucoup plus petits.

L’étude de la morphologie extérieure, de l’ ostéologie et l’analyse de l’ADN mitochondrial groupe les neufs spécimens dans une seule espèce mais distincte de toutes les espèces de baleines connues.

Cette nouvelle espèce de baléinoptère est caractérisée par sa morphologie crâniale unique, son petit nombre de fanons, et par sa parenté moléculaire l’éloignant de tous ses congénères.

Les analyses faites par SHIRO WADA, MASAYUKI OISHI & TADASU K. YAMADA séparent également Balaenoptera brydei (la Baleine de Bryde) et Balaenoptera edeni (la Baleine d’Eden) en deux espèces distinctes two distinct species, portant le nombre d’espèces connues de Balaenoptera à huit.

(D’après Nature, 19/11/2003)

10/12/2003

Découverte d’ossements de deux hominiens robustes en Australie

Les ossements de deux hominiens robustes et présentant un bourrelet frontal ont été exhumés dans la région de Willandra en Australie.Ils sont âgés de 18000 ans et leur découverte est le fruit d’une coopération entre les scientifiques australiens et les aborigènes, ceux-ci acceptant difficilement en général qu’on aille fouiller dans leurs « cimetières » : à Kow Swamp, ils avaient exigé et obtenu que les restes soient remis en terre…. Rappelons que les humains les plus anciennement retrouvés en Australie sont purement sapiens (Lac de Mungo-40000ans ou plus) et que des specimen plus récents (10000-20000 ans, voire moins- Kow Swamp, Willandra,…) sont bien plus robustes et présentent des signes d’hybridation avec Homo erectus, arrivé plus tard sur ces terres australiennes. Une souche non hybridée et restée à l’écart des sapiens pourrait expliquer l’existence actuelle des Yowies (Homins australiens).

Des détails sur ces nouveaux ossements sur http://www.smh.com.au/text/articles/2003/12/05/1070351794524.html

Pour une argumentation, abondamment illustrée, que les hommes du « type Kow Swamp » (qui semble donc s’être encore enrichi sur un site déjà connu) ont quelque chose à voir avec H erectus, voir :

http://home.twmi.rr.com/canovan/kowswamp/kowswamp.htm

Il faudra attendre au moins un mois les résultats de l’analyse ADN. En outre, ainsi on pourrait, selon LOUIS, déterminer les ancêtres de ces singes sans prélèvement de sang ou de tissu cellulaire.

Sans avoir en main de spécimen, il est difficile de dire ce qu’ils sont, ajoute LOUIS, qui dans les dernières années a identifié plusieurs nouvelles espèces de lémurs de Madagascar au travers d’une recherche génétique.

WILLIAMS a collecté des poils mais aucun n’avait de follicule, nécessaire à l’extraction de cellules pour la recherche d’ADN.

WILLIAMS a effectué également des moulages de grandes empreintes de pas dans la boue près des nids. Elles étaient près de deux pouces plus grandes que celles laissées par un pied de gorille qui a 12 pouces de long

« Ce qui rend encore plus inhabituels ces singes à l’aspect de gorille est que les plus proches gorilles connus dans cette partie de l’Afrique se trouvent à des milles de là », s’étonne WILLIAMS. « Il se pourrait qu’il s’agisse d’une nouvelle espèce apparue à cause de son isolation », a ajouté le professeur. « Il y a seulement plus d’investigateurs sur la piste de Bigfoot ici. Celui-ci n’est pas un phénomène typique à la Pennsylvanie. » déclare l’organisateur de l’événement Terry ALTMAN, le président de la «Pennsylvania Bigfoot Society».  » Les autres sont des amateurs de curiosités ou seulement des intéressés. Il n’est plus aussi tabou de parler de Bigfoot, depuis que la série  » X-Files » et Science Fiction Channel ont apporté un courant important de légitimité à toutes les éventualités le concernant. » ajoute DUFRESNE, « Il ne marchait pas comme une personne normale. »déclare Elsa CABRERA, directrice du Center for Cetacean Conservation à Santiago, Chili, ajoute WILLIAMS. Sans la crainte des lions, des léopards et des hyènes, les grands animaux hurlent au lever et au coucher de la lune, ce qui est très inhabituel pour des grands singes. Les gens sont très effrayés par eux et les appellent les tueurs de lions en raison de leur grande taille. », compare WILLIAMS, qui a filmé l’animal sur vidéo mais n’en possède pas de photographies. explique le Dr. Lee SIMMONS, directeur du zoo.

Ce contenu a été publié dans Brèves, avec comme mot(s)-clé(s) , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.