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MONSTRE DU LOCH NESS : UNE THÉORIE RESTE POSSIBLE SELON NEIL GEMMEL

Le Loch Ness et son supposé monstre sont fermement ancrés dans notre conscience collective. Nessie a ainsi inspiré bon nombre de livres, de films et de dessins animés. Et aujourd’hui encore, de nombreuses personnes croient fermement en l’existence de ce monstre.

Neil Gemmel n’en fait pas partie, mais cela n’a pas empêché ce chercheur originaire de Nouvelle-Zélande de traverser la planète pour effectuer des prélèvements dans le célèbre loch.

Des prélèvements qui ont principalement pour but de faire toute la lumière sur le célèbre mythe écossais.

Le monstre du Loch Ness, un mythe qui perdure

Neil Gemmel et son équipe ont donc passé plusieurs semaines sur place. Ensemble, les chercheurs ont effectué plus de 250 prélèvements dans l’eau en se rendant à divers endroits du loch. Certains ont été faits en surface, d’autres en profondeur.

Ensuite, les scientifiques ont séquencé tous les ADN présents dans les prélèvements pour ensuite comparer les résultats à plusieurs bases de données de recherche.

Lorsque les animaux du loch se déplacent, ils laissent derrière eux des écailles, des plumes, de la fourrure ou même des excréments. Ces restes comprennent de nombreuses données génétiques. Neil Gemmel les a donc utilisés pour dresser une carte générale du lac.

En tout, ces échantillons ont en effet permis aux chercheurs d’obtenir pas moins de 500 millions de séquences différentes.

Pour le moment, le chercheur n’a pas encore présenté ses résultats. Il le fera en effet à l’occasion d’une conférence de presse organisée à Drumnadrochit et donc sur les rives du Loch Ness. L’événement aura lieu le 5 septembre et il prendra la forme d’une conférence de presse.

Une théorie reste plausible

Toutefois, le scientifique n’a pas pu résister à l’envie d’évoquer une partie de ses recherches. Il a ainsi déclaré que les résultats obtenus lors de l’analyse des échantillons prélevés dans le loch lui avaient permis d’exclure la plupart des théories concernant son présumé monstre. En revanche, une de ces théories resterait plausible selon lui.

Laquelle ? Il ne le précise malheureusement pas, mais il peut être utile de rappeler que certaines personnes pensent que Nessie serait en réalité un poisson-chat ou un esturgeon. Ce qui expliquerait les centaines de témoignages recensés au fil de ces dernières années.

Notez pour finir que le chercheur n’a jamais pensé trouver les traces d’un monstre préhistorique dans le Loch. S’il s’est lancé dans cette aventure, c’est principalement pour promouvoir la science. Il espérait en effet que son initiative, combinée à la popularité du monstre du Loch Ness, lui permettrait de susciter l’enthousiasme des foules et d’intéresser les plus jeunes d’entre nous à la génétique.

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