Jeune, j’ai été éduqué, par la République, pour penser que les savants, les scientifiques, les chercheurs, etc…, étaient tous des bienfaiteurs de l’Humanité, des sages bienveillants, des héros, des saints laïcs, des exemples à suivre, et j’en passe.
Jeune, j’ai été éduqué, par la République, pour penser que les savants, les scientifiques, les chercheurs, etc…, étaient tous des bienfaiteurs de l’Humanité, des sages bienveillants, des héros, des saints laïcs, des exemples à suivre, et j’en passe.
Dans la jungle de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, deux scientifiques en expédition ont fait la découverte de deux nouvelles espèces d’oiseaux endémiques. Mais pas n’importe lesquelles : ces spécimens étaient vénéneux.
Bien entendu, les messages de ces récits évoqués dans notre précédent article (Les Chroniques de MBSnatura n°32) sont à considérer à plusieurs niveaux, et pas seulement celui qui est le plus trivial.
Un dernier exemple, authentique, celui d’un navigateur potentiel, qui aura, toute sa vie, rêvé d’avoir un bateau, ayant déjà acheté son ancre et son feu de mât, pour ensuite en rester là, en continuant à rêver à ce qui pourrait se trouver entre ces deux objets et à des navigations qui n’allèrent jamais plus loin que son imagination.
Un propos de l’astronome Carl Sagan : « …Does the universe know itself through us?
Maybe it goes both ways… ».
(« … L’univers se connaît-il à travers nous ?
Peut-être que ça va dans les deux sens… »).
Une phrase qui amène très loin, si on commence à y penser dans toutes ses acceptions possibles, et aussi pour toutes ses implications.
T ous les romans cryptozoologiques que j’ai déjà lus ont un arrière plan commun :
Une équipe de savants qui est envoyée dans une région éloignée pour une mission dont les buts réels ne sont pas ceux qui leurs ont été présentés.
Cette mission étant commanditée par des entités gouvernementales et/ou des personnages qui tirent les ficelles dans l’ombre, au moyen d’une taupe infiltrée dans leur équipe.
Mais ils finissent par réaliser la situation réelle dans laquelle ils ont été plongés.
Et l’aventure se termine différemment de ce que leurs manipulateurs avaient pensé arriver à obtenir.
Dans la Chronique précédente N°29 , j’ai abordé le sujet de la cryptobotanique et de la discrimination d’attention qui existe à son égard.
Mais cette discrimination d’attention frappe aussi la cryptofaune, car, si les grands bipèdes suscitent la curiosité et même l’engouement (plus, également, d’autres entités, encore bien moins certaines, mais tout aussi spectaculaires), il est évident que le reste de la cryptozoologie est tout aussi négligé et peu fréquenté.
Autant la cryptozoologie est renommée, en bien comme en mal, tout en étant présente dans bien de sites de l’Internet, dans des livres, des films (documentaires ou bien de fiction), autant la cryptobotanique est bien peu présente et encore moins visible, sinon seulement connue, au moins de nom.
Pourquoi une telle négligence, à son égard ?
La Science, et donc les scientifiques, sont des grands pourfendeurs des pseudo-sciences, et donc des pseudo-scientifiques, qui, il faut bien le reconnaître, donnent parfois les verges pour se faire fouetter.
Mais, quand on l’examine de plus près, la Science, et ses grands inquisiteurs, il faut également reconnaître qu’ils ne sont pas toujours d’un blanc immaculé, eux non plus.
Dans nos discussions privées précédentes, à la fois vous critiquiez mes exigences en matière de preuves pouvant être recevables, en cryptozoologie (trois observateurs crédibles, trente secondes au moins de durée de l’observation, effectuée à moins de trente mètres, etc.), et aussi, vous considériez que l’ufologie est bien moins crédible que la cryptozoologie.
Je vais donc vous répondre, sur ces deux objections de votre part.
Lorsqu’on parle de super-prédateurs dans l’océan, on pense généralement au grand requin blanc, ou à l’orque. Mais le cas de la disparition de Requin Alpha remet en question la place des grands requins blancs dans la chaîne alimentaire.